vendredi 29 juillet 2011

Paris et ses Musées

Musee Grevin


Sans perdre son âme, ce lieu mythique des visites parisiennes a soudain rajeuni, il est aujourd’hui un haut lieu du divertissement, un endroit à la mode où vous vous photographiez avec vos stars préférées, une façon unique de rapporter un album photo qui étonnera tous vos amis.300 personnages de cire ont rendez-vous avec vous pour vous donner l’illusion de découvrir le Moyen Age, la Renaissance mais aussi d’être une star parmi les stars dans des lieux « branchés ».

Le petit Palais

Beaucoup d'expositions dans un lieu magique

La maison de Victor Hugo

La maison de Victor Hugo a obtenu en décembre 2009 le label Tourisme & Handicap auditif. Déjà récompensé en 2007 par le label Tourisme & Handicap moteur, le musée de la place des Vosges fait figure de précurseur en matière d’accueil et d’accessibilité au sein des musées de la Ville de Paris.


Musée Jean Moulin

Inaugurés en 1994, au cœur de Montparnasse, le Mémorial du maréchal Leclerc de Hauteclocque et de la Libération de Paris et le Musée Jean Moulin retracent l’action de deux figures emblématiques de la Seconde Guerre mondiale, l’un Français libre, l’autre Résistant. Servi par une muséographie contemporaine, leur parcours est présenté dans le contexte extérieur de la Seconde Guerre mondiale et dans la France des années noires. Un mur d’images constitué d’archives audiovisuelles plonge le visiteur dans le Paris occupé, le Paris insurgé et enfin le Paris libéré.

Musée de l'Orangerie

Comme son nom l’indique, le musée de l’Orangerie est installé dans une ancienne orangerie, édifiée en 1852 par l’architecte Firmin Bourgeois et achevée par son successeur, Ludovico Visconti pour y abriter les orangers du jardin des Tuileries. Longue boite de pierre, vitrée au sud (côté Seine), aveugle au nord (côté jardin), l’édifice a reçu un décor sobre -comme il convient à un bâtiment utilitaire- mais conforme au répertoire architectural classique -pour l’accorder au voisinage de la place de la Concorde et du palais des Tuileries (aujourd’hui détruit).



Une fois installé, Delacroix exprimera souvent dans son Journal et dans ses lettres son contentement : "Mon logement est décidément charmant (...). Réveillé le lendemain en voyant le soleil le plus gracieux sur les maisons qui sont en face de ma fenêtre. La vue de mon petit jardin et l'aspect riant de mon atelier me causent toujours un sentiment de plaisir. " (Journal, 28 décembre 1857).




Blotti entre deux jardins verdoyants, dans la plus ancienne demeure de la Butte, dominant les vignes, à deux pas de la place du Tertre, Le Musée de Montmartre présente les témoignages de la vie de ce quartier original et de ses artistes comme Suzanne Valadon et Maurice Utrillo.
La collection unique du Musée, composée de tableaux, affiches, dessins, lithographies, porcelaines et mobilier, relate de façon vivante l’exceptionnelle histoire de la célèbre Butte,




Plus de 550 pièces venues du monde entier, signées des plus prestigieux créateurs tels que Majorelle, Tiffany, Gallé, Massier… sont enfin présentés au public. Pierre Cardin a recréé l’appartement d’une grande courtisane sur trois étages de son établissement classé monument historique. C’ est en partie grâce à ces dames que Maxim’s est entré dans l’ histoire de Paris, Prince, Roi, Duc , Ministres tout le gotha international a participé aux grandes heures de ce restaurant.



Symboliste et semi ou totalement abstrait, son inspiration le conduit à produire des toiles aux lignes mouvementées mais à l’atmosphère sereine et nombre de ses dernières productions l’ont conduit vers un répertoire purement maçonnique.
Il présente dans l’atrium de la Grande loge de France un ensemble d’une vingtaine de toiles mais aussi des sculptures dans une technique nouvelle qu’il pratique depuis peu.
Maçonnique


A l'initiative du maire de Paris, M. Jacques Chirac, l'hôtel de Saint-Aignan est affecté à l'installation d'un musée consacré à la civilisation juive : le Musée d'art et d'histoire du Judaïsme.




Rendre au bâtiment une lisibilité perdue, affirmer clairement sa distribution, telle était notre tâche. Le propre d’un musée est d’offrir l’hospitalité tant aux œuvres qu’aux visiteurs. D’autant que l’on sait que dans l’art asiatique c’est l’espacement, c’est le blanc qui viennent irriguer la matière même. Et comme dans la peinture, c’est le vide qui vivifie, qui se ramifie en cascade, s’insinue dans les arbres, se fait sous la montagne nuage. Si creux et déliés sont la figure même de l’alternance du plein et du vide, alors l’attention aux passages, aux ouvertures, à la correspondance des objets exposés n’est jamais assez grande.



11 mai 1960, le France est lancé sous les yeux émerveillés de plus de 100 000 spectateurs. Cinquante ans après, le musée national de la Marine s’associe à la commémoration de cet anniversaire en consacrant une exposition majeure à ce paquebot légendaire, œuvre industrielle nationale, témoin d’une société et des arts décoratifs des années 60.



Les œuvres réunies par Henri Duhem et son épouse Mary Sergeant viennent admirablement compléter ce fonds en 1987 grâce à la générosité de leur fille Nelly Duhem. Peintre et compagnon d’armes des post-impressionnistes, Henri Duhem fut aussi un collectionneur passionné rassemblant les œuvres de ses contemporains.




Au 77, de la rue de Varenne, au pied du dôme des Invalides, se dresse l'hôtel Biron, non pas compris entre cour et jardin comme il l'est de tradition pour tous les hôtels du faubourg Saint-Germain, mais isolé, tel un véritable château, au milieu d'un parc de trois hectares.
Construit entre 1728 et 1730 par Jean Aubert, le futur architecte des fastueuses écuries du château de Chantilly, l'hôtel fut commandé par Abraham Peyrenc de Moras, perruquier enrichi dans la spéculation sur le papier monnaie. Bien que Peyrenc de Moras fût un véritable "nouveau riche", il fit preuve d'une infaillible sûreté de goût, faisant appel à Aubert qui réalisa là l'un des chefs-d'oeuvre de l'architecture rocaille. La beauté des façades, du fronton sud et des masques surplombant les fenêtres ne cède en rien au raffinement du décor intérieur et notamment des boiseries, savamment ciselées, des cinq salles en enfilade ouvrant au sud sur le parc.



Depuis la fin du XIIe siècle, les bâtiments du Louvre dominent le coeur de Paris ; situés aux limites de la ville, ils ont été peu à peu rattrapés par elle puis englobés en son centre. Dans le même temps, la sombre forteresse des débuts effectuait sa mutation pour devenir la résidence modernisée d'un François Ier puis le somptueux palais du Roi-Soleil. C'est l'histoire de cet édifice et du musée qui à partir de 1793 en a occupé les salles

 
http://www.paris.fr/loisirs/musees-expos/maisons-de-victor-hugo/p5852

2 commentaires:

  1. bravo!!!!!!!!!!!!!! c'est clair, attractif, précis, ça donne juste envie d'y revenir

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  2. Bonjour,
    Et bien lorsque vous venez sur Paris nous decouvrirons quelques uns de ces monuments si vous le voulez.Merci pour votre commentaire c'est agreable

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